Le stress est un état de stress accru en réponse à des facteurs défavorables. Les plantes stressées arrêtent la croissance, réduisent fortement l’activité du système racinaire, et l’intensité de la photosynthèse et de la synthèse des protéines diminue. L’absorption des engrais est fortement réduite. Souvent, en raison de l’action de facteurs défavorables, la plante peut réduire considérablement la nouaison, voire même éliminer l’ovaire.
Chaque plante a ses propres exigences en matière de conditions environnementales. Ils diffèrent parfois au cours des phases de développement. Par exemple, il existe différentes exigences lors de l’émergence, différentes lors de la maturation et différentes lors du développement. Cela s’applique à la température ambiante et à l’humidité ou à la lumière du soleil. Chacun de ces facteurs est très important. L’eau, la température et la lumière sont les facteurs de stress les plus courants dans la vie des plantes.
Les principaux facteurs de stress chez les végétaux
Les facteurs de stress sont également des facteurs biotiques qui résultent d’autres organismes (agents pathogènes, organismes nuisibles, autres plantes).
Les plantes peuvent être soumises à des facteurs de stress d’origine « naturelle ». Elles comprennent principalement:
- rayonnement élevé;
- impact de la température (surchauffe, froid, givre, givre);
- déficit en eau et excès;
- carence ou excès de minéraux;
- salinité;
- ravageurs (nombreux auteurs de maladies, ravageurs, plantes concurrentes).
Les facteurs de stress peuvent être divisés en biotiques (agents pathogènes, nuisibles), c’est-à-dire causés par des éléments animés de la nature, et abiotiques (gel, sécheresse, salinité) – dérivés de la nature inanimée. La réponse des plantes au stress dépend de la durée du facteur de stress, de sa gravité par unité de temps et de la dose totale de stress.
Stress thermique
Le phénomène de stress thermique se produit lorsque la plante se trouve dans des conditions où la température s’écarte de l’optimum pour une espèce donnée. Trop élevé ou trop faible entraîne des perturbations dans le métabolisme de la plante, y compris sa mort. Les plantes de la zone climatique tempérée sont adaptables aux températures élevées principalement en évitant la surchauffe des tissus. La réaction des plantes au stress dû aux températures élevées entraîne également une augmentation de la production d’antioxydants et une accumulation de certains composés organiques. À l’autre extrême du stress thermique se trouvent les réactions des plantes aux basses températures. Il élimine ou limite fortement leur croissance et leur rendement. Les dommages causés par celui-ci dépendent de son étendue, de la durée de son impact sur les plantes et du taux de déclin.
La base de la survie des plantes dans des conditions de température trop basse est d’empêcher la congélation de l’eau, d’éviter sa cristallisation dans les cellules et la capacité de tolérer les effets de la cristallisation extracellulaire. Ce dernier mécanisme est basé sur la protection des cellules contre les effets d’une déshydratation excessive (augmentation de la force de l’eau retenant les cellules). Ces mécanismes sont similaires à la réaction des plantes au stress hydrique.
Comment minimiser le stress thermique ?
Une méthode consiste à arroser la plantation pour la refroidir, mais parfois cela ne suffit pas pour que la plante se défende contre la chaleur. Nous pouvons essayer d’ombrager les plantes en les recouvrant d’agro textile, qui laisse entrer l’air, mais protège contre les rayons du soleil. Il peut également essayer de faire de l’ombrage en plaçant les cartons sur le côté avec un fort rayonnement solaire. Nous ne devons en aucun cas recouvrir les plantes de papier d’aluminium.
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